Béatrice de Cépourtoi !, Rennes
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
Je suis fleuriste sans magasin, salariée et associée de la coopérative Elan Créateur.
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
Dès le début du projet par Guillaume qui prospectait à La ruche qui dit oui.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Mon engagement dans une activité en circuits courts et productions locales ou nationales. Je suis aussi adhérente de Boutique Solidaire Bretagne et en démarche pour l’obtention d’un label de « fleuriste éco-responsable ».
4. Avez-vous un bon souvenir à nous raconter par rapport au Galléco ?
J’ai rencontré une cliente par l’annuaire du Galléco où elle m’avait trouvée.
5. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer au réseau ?
Si elle a l’occasion de vendre en direct, c’est une possibilité d’élargir sa clientèle.
Retrouvez son site internet ici, sa page de présentation là.
Lisa d'Apple Pie, Rennes
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
4 ans d'activité.
- Un restaurant paysan bio
- Que des produits locaux et de saison
- Certifié bio
- Guide du routard
- Végétarien
- Irlandais
- Engagé
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
Auprès de mon ami Marc qui était Président de l'association Galléco.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Mon engagement.
4. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer ?
Les petites actions de colibris peuvent devenir des grandes ! C'est simple et beau comme initiative.
Retrouvez sa page de présentation ici.
Loïc de O Bien Etre, Rennes
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
5 ans et demi pour la structure Rue de la Monnaie et 8 ans et demi pour celle rue du Vau Saint Germain.
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
Il y a environ un an, par un voisin.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Le côté réseau local, bio, éthique.
Retrouvez son site internet ici et sa page de présentation là.
Marc de Poco Loco, Rennes
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
Je vends des produits d’artisanat de différents pays : vêtements, bijoux, accessoires, décoration,… Je connais bien mes fournisseurs et mes produits.
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
Dès la mise en place du projet.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
L’envie de participer à un projet concernant une autre vision du commerce et des échanges.
4. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer ?
Plus on est nombreux mieux c’est, pour pouvoir élargir la diffusion de ces idées.
Retrouvez sa page de présentation ici.
Nicolas de la Cour des Miracles, Rennes
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
La Cour des Miracles est un café-librairie qui a ouvert ses portes en juin 2007. On y cultive l’esprit « bistrot », un endroit où l’on boit, mange des produits locaux soigneusement choisis. Idem pour la librairie, où les livres sont en prolongement de notre identité militante.
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
Quelques mois avant son lancement.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Au-delà de la volonté de faire réussir ce projet d’une monnaie locale, nous y voyons le moyen de réunir dans un réseau les acteurs (producteurs, commerçants et consommateurs) d’une économie responsable et solidaire.
4. Avez-vous un bon souvenir à nous raconter par rapport au Galléco ?
Dernièrement j’ai acheté une paire de chaussures dans le magasin « Poco Loco » situé juste à côté de la Cour des Miracles. Marco m’a rendu le billet peu de temps après pour payer son repas. C’est du circuit ultra-court !
5. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer au réseau ?
Si elle partage la philosophie du Galléco, et la met en pratique au quotidien, cela ne lui coûtera rien (ni temps perdu, ni argent) et lui permettra d’entrer dans un réseau réunissant des personnes sensibles à l’idée de relocaliser l’économie de manière responsable et solidaire.
Retrouvez son site internet ici sa page de présentation là.
Rozenn de Ma Petite Savonnerie, Rennes
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
Je suis savonnière, je fabrique du savon selon la méthode de saponification à froid. C’est la seule manière de choisir tous les ingrédients que nous introduisons dans la recette et surtout la seule façon de conserver toute la glycérine (8 à 9 %) qui se forme lors de la fabrication.
J'ai commencé à fabriquer du savon il y a 4 ans après avoir participé à 2 stages (en vue d'une reconversion professionnelle), ensuite je me suis formée auprès d'un chimiste à L'UESS (Université Européenne des Senteurs et des Saveurs) de Forcalquier.
Cela fait 2 ans que je vends ma production.
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
Je ne sais plus exactement mais avant le lancement de celui–ci.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Il me paraissait normal d'adhérer. Pour mon activité, je fonctionne dès que cela est possible avec les producteurs locaux (achat d'huiles végétales, de lait d'avoine, d'orties, de miel et cire d'abeille). Dans ma vie personnelle, mes achats se font le plus possible auprès de producteurs locaux également. J'ai fait partie de groupement d'achats.
4. Avez-vous un bon souvenir à nous raconter par rapport au Galléco ?
Il y a bien une interview filmée par un étudiant d'une école d'audiovisuelle. Moi qui n'aime pas cela, il a fallu que je prenne sur moi.
5. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer au réseau ?
Au jour d'aujourd'hui, je ne sais pas trop et c'est bien là ma difficulté, j'ai besoin d'avoir encore plus d'éléments.
Je ne suis pas très convaincue mais c'est aussi parce que que je n'ai pas assez de recul et n'ai pas pris le temps de m'informer suffisamment.
Cela fait 9 mois que la monnaie est sur le marché, il faut du temps pour en voir l'impact.
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Cécile de l'Apshodèle, Redon
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
L'Asphodèle a presque 3 ans. C'est un restaurant où l'on peut manger sur place ou emporter son déjeuner, de bonnes choses cuisinées avec des produits bio et /ou locaux, de saison. Tous les jours, l'ardoise change : tartes salées aux légumes, plat mijoté (avec beaucoup de légumes) et desserts.
2. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Cela m'a paru être dans la continuité de ce que je faisais déjà, à savoir favoriser l'économie locale, en particulier les producteurs locaux.
3. Avez-vous un bon souvenir à nous raconter par rapport au Galléco ?
La curiosité des clients qui veulent voir les billets.
4. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer ?
Utiliser les gallécos ne présente aucun inconvénient, ne nécessite pas de double comptabilité. Cela ne présente que des avantages.
Françoise de La Cuillère en Bois, Redon
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
J’ai commencé il y a 23 mois, tout va bien !
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
Dans mon restaurant.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Pour lutter contre les escrocs de la finance et de bien d’autres choses, et contre les grands groupes de la grande distribution !
4. Avez-vous un bon souvenir à nous raconter par rapport au Galléco ?
Oh, on dirait un jeu !
5. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer au réseau ?
C’est archi simple !
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Dider Jamet, Pays de Fougères
1. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre activité ? Quand et comment avez-vous commencé ?
J'ai démarré en janvier 2008 ma pratique du Massage BienÊtre et suis formateur en Toucher-Massage depuis février 2011. J'ai le statut d'autoentrepreneur et suis salarié quelques heures chaque année par L'Institut de Formation en Soins Infirmiers du CHGR de Rennes. Tout cela représente pour le moment une activité professionnelle très modeste !
2. Quand avez-vous entendu parler du Galléco pour la première fois ?
A l'occasion d'une conférence organisée par le Conseil Général d'Ille-et-Vilaine qui avait fait salle « archi » comble, début 2012 je crois.
3. Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer ?
Le fait que ce soit une monnaie non spéculative en premier lieu, son éthique d'une façon plus générale.
4. Avez-vous un bon souvenir à nous raconter par rapport au Galléco ?
Ma femme, Marie-Christine Cudicio, elle aussi prestataire, a reçu ses premiers gallécos le lendemain de son acceptation et en a été réjouie ! Depuis, 3 autres personnes seulement l'ont réglée de cette façon.
5. Que diriez-vous à une entreprise qui ne connaît pas Galléco pour la convaincre d’adhérer ?
Je mettrais en avant le fait qu'il s'agit d'une monnaie non spéculative, éthique, locale, qui encourage à progresser dans le domaine environnemental comme dans le domaine social.
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